© Marc Grémillon

Amélie BernardBiologie végétale

Médaille de bronze du CNRS

Chercheuse en biologie végétale au Laboratoire de biogenèse membranaire1 , spécialiste de l’autophagie et des processus d’adaptation des plantes.

L’acclimatation des plantes aux contraintes environnementales est une question centrale dans les recherches d’Amélie Bernard. Après une thèse sur l’importance des lipides dans la réponse des plantes à la sécheresse, la chercheuse se concentre sur l’étude de l’autophagie au cours de son post-doctorat aux États-Unis puis au sein du CNRS qu’elle intègre en 2016. Ce processus de dégradation et de recyclage intracellulaire est fondamental pour la survie des plantes aux stress tels que les carences en nutriments ou en eau. Dans le contexte d’une ERC Starting Grant, Amélie Bernard s’intéresse en particulier à l’implication des lipides dans les dynamiques membranaires mises en œuvre au cours de l’autophagie. Elle combine pour cela des approches de protéomique, de lipidomique et de biochimie ainsi que de l'imagerie 3D haute résolution. Ses recherches ont ainsi apporté des avancées majeures à notre compréhension des mécanismes de formation des structures autophagiques chez les plantes.

  • 1CNRS/Université de Bordeaux

Amélie Bernard, chercheuse en biologie végétale | Talents CNRS

Portrait d'Amélie Bernard, Médaille de bronze 2023 du CNRS, chercheuse en biologie végétale au Laboratoire de biogenèse membranaire, spécialiste de l’autophagie et des processus d’adaptation des plantes. L’acclimatation des plantes aux contraintes environnementales est une question centrale dans les recherches d’Amélie Bernard. Après une thèse sur l’importance des lipides dans la réponse des plantes à la sécheresse, la chercheuse se concentre sur l’étude de l’autophagie, au cours de son post-doctorat aux États-Unis, puis au sein du CNRS qu’elle intègre en 2016. Ce processus de dégradation et de recyclage intracellulaire est fondamental pour la survie des plantes aux stress tels que les carences en nutriments ou en eau. Dans le contexte d’une ERC Starting Grant, Amélie Bernard s’intéresse en particulier à l’implication des lipides dans les dynamiques membranaires mises en œuvre au cours de l’autophagie. Elle combine pour cela des approches de protéomique, de lipidomique et de biochimie ainsi que de l'imagerie 3D haute résolution. Ses recherches ont ainsi apporté des avancées majeures à notre compréhension des mécanismes de formation des structures autophagiques chez les plantes.

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